Le nom « tourmaline » vient du cinghalais, une langue parlée majoritairement au Sri Lanka. Le mot signifie « pierre aux multiples couleurs ». Elle est aussi nommée « pierre arc-en-ciel » car elle a des couleurs extrêmement différentes – et parfois dans la même pierre. Elle est dure et tendre à la fois, une volonté de plaire, dans un gant de velours.

Une pierre du bout du monde !

Les gisements de Tourmaline se trouvent en très grande majorité en Afrique. De là, les pierres partent pour un long voyage jusqu’au Sri Lanka. Le pays est une plateforme de négoce et de taille, le continent africain n’ayant pas encore les compétences en la matière. De l’Asie, elles débarqueront en Europe.

Or, à la bijouterie Cante, nous ne nous fournissons pas auprès de bureau qui globalise l’achat. Nous collaborons avec 3 ou 4 acheteurs qui vont sur site. Une façon de maîtriser la provenance, l’authenticité, la transparence.

Chacun son métier

Nous ne taillons pas la pierre (ou à de très rares occasions), c’est le métier du lapidaire. Le tailleur de pierres lui-même ne taille pas le diamant, c’est le travail du diamantaire.

Nous, nous sommes bijoutier, orfèvre, joaillier… Nous assemblons différents éléments pour en créer un seul, unique, singulier : un objet de désir !

Il était une fois… un bijou !

À l’origine de la création d’un bijou, tout part de la pierre. On se met au service de la pierre pour la mettre en scène en fonction de ce qu’elle nous évoque, ce qu’elle nous révèle, ce qu’elle nous inspire.

Derrière chaque objet de désir, il y a toujours une histoire (petite ou grande), autour de nos fabrications, de nos réalisations.
Quand vous en devenez propriétaire, c’est vous qui racontez la suite.

Pour aller plus loin…

Il se murmure que la Tourmaline est quelques fois posée à proximité d’un ordinateur, ou à côté d’un téléphone portable, pour protéger des ondes électrostatiques ou électromagnétiques.

Elle a, paraît-il, des vertus pour calmer les émotions et les situations de stress.